
L’Europe n’a jamais manqué de compagnies maritimes, mais rares sont celles qui, comme Costa Croisières, savent donner à chaque traversée une saveur singulière. Cette enseigne majeure du secteur s’est taillé une réputation solide, portée par une promesse claire : offrir bien plus qu’un simple séjour flottant. Avec des croisières de 3 à 14 jours vers les côtes les plus recherchées d’Europe, des Caraïbes et du nord de l’Afrique, Costa propose une expérience à la carte, sans routine imposée. Chaque passager pioche dans un éventail d’activités, construit son propre rythme, choisit ses escales et façonne son voyage. C’est là que la compagnie marque sa différence : souplesse, diversité des destinations, service à la hauteur et une politique tarifaire qui bouscule les idées reçues sur le luxe en mer.
Les itinéraires proposés par la compagnie
Pour ne pas se laisser distancer, Costa multiplie les trajets inédits tout en gardant ses voyages emblématiques. La flotte compte plus de quinze navires, capables de relier des ports mythiques et d’autres, plus intimes, parfois inattendus. Bien sûr, la Méditerranée demeure le terrain de prédilection, mais les départs se font aussi bien depuis Marseille, Nice, Venise, Savone ou Rome, avec des étapes du côté de Barcelone ou Tenerife.
Certains voyageurs, friands de températures plus fraîches et de panoramas bruts, construisent leur itinéraire autour des fjords norvégiens. Escales à Bergen, Copenhague, Geiranger, Kiel, Saint-Pétersbourg ou Stockholm : autant de promesses d’aventure et de dépaysement pour ceux en quête de paysages qui marquent.
Costa propose aussi un grand saut vers les Caraïbes, où le bleu turquoise de la mer et les plages à perte de vue redéfinissent la notion de détente. Du côté des Émirats, les escales à Abu Dhabi et Dubaï attirent ceux qui apprécient le contraste entre traditions et innovation.
L’Amérique du Sud n’est pas en reste : Brésil, Argentine, Costa Rica, Uruguay composent des itinéraires variés, oscillant entre nature grandiose et villes vibrantes. Ceux que l’aventure à grande échelle attire peuvent s’embarquer pour une croisière lointaine, voire pour un tour du monde de 115 jours. Sur ce type de périple, le forfait tout inclus prend tout son sens, transformant le navire en maison flottante.
Sur le plan de la sécurité, la compagnie mise sur une formation digitale aux procédures d’urgence, notamment sur les itinéraires méditerranéens. Une organisation repensée qui allège les rassemblements et rassure ceux qui veulent voyager sereinement.
Cabines de la catégorie Formule Deluxe
Pour une expérience plus raffinée, la Formule Deluxe, réservée aux suites, met la barre haut. Les espaces sont spacieux, l’attention portée au moindre détail saute aux yeux. Les repas se savourent dans un restaurant exclusif, accessible uniquement aux occupants de ces cabines.
La notion de privilège se matérialise aussi à travers tout un ensemble d’attentions. Dans les suites Formule Deluxe, chaque détail compte :
- une bouteille de Ferrari Crémant attend les passagers pour marquer le départ
- bain à remous privatif propice à la détente
- sels de bain, synonymes de parenthèse bien-être
- peignoirs et chaussons pour une atmosphère douillette
- choix du coussin, de quoi personnaliser ses nuits
Ces cabines sont idéalement situées sur les ponts supérieurs, loin de toute agitation. Point fidélité : réserver une suite donne droit à 10% de réduction sur la prochaine croisière dans la même catégorie.
Le retour d’une passagère, qui évoque la variété des escales, la qualité du service, la propreté irréprochable et des repas sans fausse note, illustre l’esprit Costa : ici, la monotonie ne s’invite pas à bord, pas plus que la déception. L’autre force, surtout pour les familles : jusqu’à deux enfants de moins de 18 ans peuvent voyager gratuitement dans la même cabine qu’eux, de quoi alléger la note.
Chez Costa Croisières, l’expérience va bien au-delà de la destination ou d’une suite raffinée. À chacun de dessiner sa traversée, de la Méditerranée à l’autre bout du monde. Pour ceux qui cherchent à briser la routine, la mer, à perte de vue, n’attend que le prochain départ.






